Des mémoires utérines à l’éveil de soi..

Des mémoires utérines à l’éveil de soi..

Des mémoires utérines à l’éveil de soi..

foetusDe Freud, au docteur Otto Rank, (1928/29) , en arrivant jusqu’au plus récent le Dr Claude Imbert tous ont mis en lumière la corrélation entre vie intra-utérine et mémoires émotionnelles inscrites dans les cellules et l’ADN..
De fait, notre vie intra-utérine nous laisse un certain nombres d’empreintes. Ces empreintes émotionnelles, énergétiques, cellulaires, familiales, se cristallisent dans l’utérus et dans le corps astral et corps physique du foetus.
Cela génère des blocages, des dysharmonies , des souffrances physiques, psychiques ou émotionnelles, un dénigrement de soi (tel que je ne suis pas capable de , je n’y arriverai pas, les bonnes choses n’arrivent  qu’aux autres, ), des peurs, etc.. Toutes ces fausses croyances prennent vie dans vos premiers instants, dans votre première maison le ventre « maternel «  si au lieu d’être accueilli et aimé vous êtes au contraire rejeté.

L’état de grossesse est un état qui touche émotionnellement la mère et l’enfant. La femme qui vit le processus de mère est mise en phase avec sa propre gestation, avec sa  place dans la famille , sans oublier le déterminisme environnemental.

Le foetus est lui au delà de son programme de vies passées et de chemin de vie qu’il a à suivre imprégné par l’énergie que lui renvoie cette mère, cette maman  qui l’accueille pour 9 mois ou pour plus longtemps…

Toutes ces informations s’inscrivent au fur et à mesure dans l’Etre à venir et il commence sa construction sur ces fondements.

Si devenu adulte en dépit de nombreuses thérapies, l’adulte souffrant, l’adulte en recherche de lui même ne trouve pas le chemin à prendre, mes thérapies pourraient etre un début de réponse en ce qui touche à la matrice, aux blocages intra utérins, à l’éveil de son féminin & masculin sacré sans oublier le travail de réunification du couple sacré en soi. D’aussi loin que je me souvienne avant même d’avoir suivi un cursus de psychogénéalogiste je lisais en la matrice comme dans un livre ouvert, de la même manière qu’il appartient à chacun de voir le nez au milieu de la figure…